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LIBRE - New York, Baby

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Joyce C. Aisling
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Joyce C. Aisling


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MessageSujet: LIBRE - New York, Baby LIBRE - New York, Baby EmptyDim 1 Avr - 19:21

Esquisse du RP

Date :
1er Juin 2017
Apparition de PNJ :
[ ] Oui - [ ] Non
Choix du PNJ :
[ ] The Chief - [ ] Our Mother

--> A DECIDER AVEC MON FUTUR PARTENAIRE
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Joyce C. Aisling
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MessageSujet: Re: LIBRE - New York, Baby LIBRE - New York, Baby EmptyDim 1 Avr - 19:27

New York, Baby
Joyce ft. LIBRE


La vie à New York peut parfois aller à cent à l'heure... et ça peut parfois être assez chaotique. C'était un peu ce à quoi ressemblait le matin de Joyce, ce jour-là. Elle avait pourtant bien paramétré, la veille, son réveil à 6h30 du matin, mais il n'avait pas sonné —ou elle ne l'avait pas entendu. Elle avait rendez-vous ce matin-même au tribunal, devant la cour de justice, afin de plaider non coupable pour son client mais là, elle n'était vraiment pas du tout présentable. Les cheveux en bataille, elle était encore dans son ensemble de short bleu, les yeux à moitié ouvert, le ventre vide. Elle grogna et claqua l'oreiller sur sa tête, elle ne sentait pas très bien cette journée. Il était 7h30 à présent, elle avait officiellement une heure de retard, elle était fichue. Joyce se hâta de se lever, manqua de trébucher sur le petit pouf posé à côté de son lit, enfila son peignoir et fila en quatrième vitesse à la cuisine. Son appartement dans Manhattan était vraiment chic, et peut-être trop grand pour une personne, mais elle s'en fichait, elle avait de l'espace et du calme —ça lui suffisait amplement. Elle attendit impatiemment que l'eau boue dans sa bouilloire, prépara son English Breakfast Tea pour déjeuné, et croqua dans une pomme. Elle n'avait pas le temps de faire de la grande cuisine, il fallait se dépêcher. Elle fille donner le trognon de pomme à ses deux lapins, leur fit la caresse du matin, leur remit à boire et à manger pour la journée, et partit dans la salle de bain avec sa tasse de thé. Elle prenait très souvent son thé dans sa salle de douche, en même temps qu'elle se préparait, elle pensait gagner du temps.Elle prit la douche la plus expresse de toute sa vie, enfila son tailleur, et fila se maquiller. Un trait de liner et un peu de mascara suffirait pour cette journée. Elle regarda son horloge, 7h55, elle était vraiment à la bourre. Joyce passa un coup de brosse dans ses cheveux et mis du baume à lèvres. Elle attrapa son sac à main et sa sacoche de boulot. Elle était fière d'elle à ce moment précis, elle qui était si bien organisée, ça servait pour une fois à quelque chose. Ses affaires de travail étaient prêtes depuis la-veille, pas besoin de perdre du temps supplémentaire. Elle enfila ses escarpins, et là fut la catastrophe. Elle effila ses collants. Tout en pestant contre l'univers, elle se hâta d'en enfiler une autre, en priant pour ne pas les casser, eux aussi. Les escarpins enfilés à nouveau, elle attrapa ses clefs et courra en direction de la sortie.

L'air chaud de la matinée lui fit presque regretter de ne pas être restée dans son appartement climatisé. Il faisait une chaleur pénible en ce premier juin. Elle allait arriver couverte de sueur pour le procès, ce n'était pas une très bonne image pour représenter le prestigieux cabinet d'avocat dont elle faisait partie. Elle décida de prendre le métro ce jour-là, jugeant qu'il serait plus rapide. En effet, en six minutes elle était arrivée à destination. 8h25, elle était encore dans les temps, il lui restait cinq minutes pour arriver dans la salle. Elle traversa sans regarder, elle ne fera plus la même erreur deux fois. Un inconnu venait de lui renverser du café dessus. Son tailleur classique noir et blanc était fichu, sa deuxième paire de collants bonne à mettre à la poubelle, et elle était définitivement dans le pétrin : elle n'allait jamais y être à temps. Comme je le disais, la vie à New York peut être assez chaotique...
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Malva Bolger

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MessageSujet: Re: LIBRE - New York, Baby LIBRE - New York, Baby EmptyVen 27 Avr - 0:11

Joyce C. AislingNew York, BabyL'aéroport de New York. Grand. Spacieux. Immense. Ai-je encore d'autres qualificatifs ? Pour désigner l'espace que ce centre d'aviation. Les commerces, tous plus nombreux, appellent les touristes fraîchement arrivés à la dépense. Toujours plus. Le capitalisme. L'argent. C'est toujours impressionnant de le voir en action. Je flirte entre ses étals toujours de plus en plus garnis avec le temps qui passe.

En effet, j'étais arrivée à quatre heures du matin et je n'avais pas encore pu fermer un oeil. En effet, je ne savais pas où était mon hôtel et j'avais réussi à louper tous les taxis. Oui, je sais qu'il y en a toujours qui tournent mais je ne sais pas pourquoi, je n'ai absolument pas envie de m'enfermer dans un habitacle après ces heures en avion.

Je décide enfin de sortir de l'aéroport chargée de ma petite valise et de m'engager dans les rues tumultueuses de New York. La ville s'éveille. Les personnes telles des fourmis commencent à grouiller atour des immeubles pour y entrer ou en sortir. D'autres s'arrêtent sur des petits stands pour y prendre des boissons chaudes et de quoi se sustenter pour la matinée qui s'annonce chargée pour eux. Je me mets dans une file en baillant ouvertement.

Arrivée devant la marchande, je la regarde avec des yeux vitreux de sommeil. Elle a dû se reprendre à trois fois avant que je ne lui réponde tellement j'étais hypnotisée par les vapeurs de la bouilloire. Quand enfin je daigne prêter attention à ses paroles, c'est pour réclamer un café - chose que je ne bois pas souvent mais là, le pays est en état d'urgence - et un croissant.

En fouillant dans mon sac, je fais tomber la moitié de mes papiers dont je me servais pour gribouiller dans l'avion pour passer le temps. Je me baisse à quatre pattes, fouille et ramasse les papiers avant de me relever pour payer en petite monnaie la marchande exaspérée. Et sans prêter attention aux clients new-yorkais en colère, je me dirige lentement vers mon hôtel. Euh... Il est où ? Je refouille mon sac pour en sortir mon portable. Google Maps, aide-moi ! L'adresse entrée, le chemin indiqué, je me mets en route.

Le nez soit dans les nuages, soit dans le café, soit dans le téléphone, je poursuis traversant un parc où j'ai failli me prendre un arbre, dans une ruelle interdite au public... puis dans un chantier en plein ballet d'engins et enfin un passage piéton où je percute quelqu'un. Mon regard suit les traces de mon café couler sur le tissu d'un tailleur cintré sur une silhouette fine. Une femme ? Je le remonte lentement vers sa poitrine, puis son cou et enfin son visage terminant par ses yeux. Hum... Je dois m'excuser non ? Ah oui !

Oh... euh...excusez-moi, je sors d'un vol de vingt-trois heures et je n'ai pas encore fermé l'oeil depuis mon arrivée à quatre heures ce matin. En tout cas, cette tâche de café ne vous met pas en valeur. Quel dommage vous avez de beaux yeux.

Les paroles coulent comme une chute d'eau ; une avalanche de mots. Ils sortent sans filtre, ni logique. La fatigue se voit. Les yeux sont brouillés, les cheveux en bataille. La petite valise collée contre mon genou commence à glisser. Je la rattrape de justesse. Il faut nettoyer ça !

Ah oui ! Mon hôtel !

J'attrape le bras de mon interlocutrice, je refourre mon nez dans mon téléphone. On n'était plus très loin. Sans trop le préciser à cette femme, je l'embarque avec moi pensant vraiment l'avoir inviter à me suivre pour qu'elle puisse se changer.
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PS:


Dernière édition par Malva Bolger le Sam 2 Juin - 21:16, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: LIBRE - New York, Baby LIBRE - New York, Baby EmptySam 5 Mai - 22:21

New York, Baby
Joyce ft. LIBRE


Le café... qui aime le café ? Joyce, en tout cas, n'aimait pas ça —et n'était pas prête d'aimer. Elle était naturellement une personne qui avait plus un penchant pour le thé, l'odeur du café étant trop entêtante pour elle. Elle pensa très fort ce jour-là que c'était un comble si elle était maintenant trempée de cette substance liquide jaunâtre. Elle n'avait plus qu'à appeler son client pour lui dire qu'elle serait incapable de le défendre aujourd'hui. Elle grinçait des dents, elle n'aimait pas faillir dans son travail. C'était une chose qui ne lui arrivait que très rarement, et ce n'était jamais de sa faute. Comme ce jour-là, ça dépendait... de circonstances extérieures. D'habitude, elle aurait été très compréhensive, elle n'aurait même pas insulter la personne dans sa tête. Mais là, c'était le pompon. Avec ce client, c'était presque sa carrière qu'elle remettait en question. En plus, cette tenue, c'était l'une de ses préférées. Elle prit plusieurs respirations pour se calmer, elle y était presque parvenue. Elle était même prête à accepter les potentielles excuses de la jeune femme qui l'avait bousculé. Après tout, ce n'était pas sa faute, elle qui voyageait beaucoup, elle savait à quel point le jet lag peut être traitre. Et puis, elle avait l'air extrêmement fatigué. Seulement, lorsque l'inconnue l'empoigna par le bras, la tira avec elle, et le tout sans aucune explication, Joyce en oublia ses bonnes résolutions. Piquée au vif, elle essaya de dégager son bras, mais l'inconnue la tenait fort. Elle la força à s'arrêter en pleine rue.

« Je peux savoir pour qui vous vous prenez à m'attraper et me tirer comme cela ? On ne se connait pas, vous avez ruiné ma tenue, et en plus ma carrière est désormais compromise par votre faute! »


Ca avait été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Tout le monde autour d'elles les regardaient se disputer, et au vu de la tenue de Joyce et de leur posture, elles devaient donner un beau spectacle.
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MessageSujet: Re: LIBRE - New York, Baby LIBRE - New York, Baby EmptySam 2 Juin - 21:15

Joyce C. AislingNew York, Baby Le café... qui aime le café ? Pas moi, en tout cas, mais il fallait bien que je tente des choses pour me tenir éveiller. Et tout ce que cela a servi c'est de faire des pirouettes d'émotions ... ou pas... Je suis plutôt du genre amorphe après. Alors mon esprit et mon cerveau ne voulait plus vraiment suivre. Donc quand elle essaya de me faire lâcher, mon réflexe premier a été de resserrer ma prise. Cela me rappelle trop les enfants. Il ne faut pas les lâcher, il ne faut pas qu'ils se perdent. Mais bientôt une autre force opposée s'exerce à mon mouvement. Hein ? Quoi ? Qu'est-ce qui se passe ? Il faut bien nettoyer ça non ? Elle commence à parler et je l'écoute en tentant d'essayer de comprendre. Le sommeil est trop grand maintenant. Hein ? Carrière ? Je suis en train de m'imaginer une carrière, une mine... de sel, de pierre, de gravier... que sait-je ? Je ne savais pas qu'il y en avait sur New York. Je penche la tête et j'observe sa tenue. Ce n'est pas vraiment une tenue de minière. Je prend un peu de recul mental. Attends, attends ! Elle ne peut pas être minière. Alors pourquoi elle me parle de carrière ? Et là, la réalité me percute ! Mais oui, sa carrière, son boulot quoi ! Oh punaise - qui remplace le pu**** habituel depuis que Marcus et ses amis avaient des enfants - je ne suis pas réveillée moi ! Pendant que je réfléchissais, je n'avais pas remarqué que le silence - enfin silence, autant que faire se peut dans la ville de New York - s'est fait entre nous depuis une bonne minute et qu'elle attendait depuis ma réponses. Je me redresse d'un coup comme réveillée par surprise.

Hum... Je ne l'ai pas dis ? Je voulais vous amener à mon hôtel pour nettoyer ça. [Montre la tâche qui s'était bien étendue] Dommage que ce soit du café, le mieux aurait été du thé. [soupire] Sinon, pour votre carrière ... hum ... Si je fais un malaise [ce n'est pas complètement faux vu que je suis au bord de l'épuisement] et que vous appelez les ambulanciers, cela vous arrangerez ?

Oui, j'ai une réflexion étrange qui me caractérise bien mais bon ce n'est pas de ma faute. Bon après, si on fait ça, elle sera obligé de donner son numéro à l'hôpital étant la seule personne me "connaissant" sur ce continent.
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